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1 Format Radio
Titre de l'émission LA 11E HEURE
Titre du segmentLes carnets d'André Major (2 de 8)
Date de création 1997-12-16
Durée du segment00:52:50
InvitésMajor André, réalisateur, écrivain
ArtisansLépine Stéphane, réalisateur, amimateur, Major André, réalisateur
Collection(s) Société Radio-Canada
RésuméPour souligner l'apport exceptionnel d'André Major, réalisateur à Radio-Canada depuis près de 30 ans (à la Chaîne culturelle FM de Radio-Canada), Stéphane Lépine propose une série de huit carnets et dialogues avec le lecteur, l'écrivain et le réalisateur André Major.

Deuxième carnet: L'autodidacte militant (1960-1970): André Major parle de sa jeune vie d'adulte. Il évoque ses parents, inquiets pour lui depuis qu'il a abandonné ses études. Il devient chroniqueur littéraire au "Petit Journal" et il fonde avec des amis, dont André Brochu, la revue "Parti pris" en (1963). Cette fondation coïncide avec la montée du FLQ. André Major connaît plusieurs membres de cette organisation et comprend leurs motivations. C'est l'époque où il y a un certain lyrisme révolutionnaire dans l'air. Il écrit "Les armes à la main" pour la revue "Liberté". André Major explique les raisons de son départ de la revue "Parti pris". "Cabochon", son premier roman, paraît. Étant chroniqueur littéraire pour le "Petit Journal" mais également pour "Le Devoir", il lira beaucoup de littérature étrangère et découvrira des auteurs qui l'influenceront.
Émission ponctuée de pièces musicales.
Mots clésArt engagéCritique littéraireCultureGauche politiqueLittératurePériodiquesPolitiqueRomanSouvenirs
Remarques sur
le document
Cette émission a été rediffusée le 1998-07-26 dans le cadre de l'émission "Séries diverses".
Identifiant1260305
Mise à jour 2019-03-07
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2 Format Radio
Titre de l'émission LA 11E HEURE
Titre du segmentLes carnets d'André Major (4 de 8)
Date de création 1997-12-18
Durée du segment00:58:32
InvitésMajor André, réalisateur, écrivain
ArtisansLépine Stéphane, animateur, réalisateur; Major André, réalisateur
Collection(s) Société Radio-Canada
RésuméPour souligner l'apport exceptionnel d'André Major, réalisateur à Radio-Canada depuis près de 30 ans (à la Chaîne culturelle FM de Radio-Canada), Stéphane Lépine propose une série de huit carnets et dialogues avec le lecteur, l'écrivain et le réalisateur André Major.

Quatrième carnet: Le journal, recherche d'un savoir vivre et mourir : "Ceci n'est pas un carnet de route, plutôt un carnet de déroute". Tout au long de cette heure, André Major expose sa conception de l'écriture d'un journal et nous dit ce qui l'a poussé à entreprendre cette démarche qui s'est avéré un exercice spirituel, un désir de se connaître et de mieux saisir le monde qui l'entoure. Il fait le parallèle entre le processus d'écriture du journal et celui du roman. Il reproche l'égocentrisme d'Anaïs Nin dans son journal et souligne l'importance pour lui de toujours garder à l'esprit le lecteur potentiel. Des lecteurs d'ici, il dira qu'ils ne sont "pas très raffinés et se laissent duper par l'écriture spectacle", un comportement allant à l'encontre de la sobriété qu'il privilégie dans ses oeuvres. Il fait part de son grand intérêt pour la musique de Jean-Philippe Rameau, un univers d'enfance, de joie et d'émerveillement. L'environnement social, politique et l'échec de certaines illusions après le référendum de 1980, bien qu'ayant pu teinter son oeuvre, lui dictent de ne pas se résigner et de se tourner vers la banalité, une vérité de la vie selon lui et une recherche d'équilibre. Dans ces propos, André Major expose sa philosophie de vie. Il établit la différence entre écriture de l'intime et écriture intimiste et parle plus particulièrement de son dernier roman, "La vie provisoire", et de "L'hiver au coeur" paru en 1987. Enfin, il parle du journal de l'auteur italien Cesare Pavese, une oeuvre qui l'a bouleversé.
Émission ponctuée de pièces musicales.
Mots clésConsidérations littérairesCultureLittératureLittérature étrangèreMusiqueRomanSouvenirs
Remarques sur
le document
Cette émission a été rediffusée le 1998-08-09 dans le cadre de l'émission "Séries diverses".
Identifiant1259942
Mise à jour 2019-03-07
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3 Format Radio
Titre de l'émission LA 11E HEURE
Titre du segmentLes carnets d'André Major (7 de 8)
Date de création 1997-12-23
Durée du segment00:58:31
InvitésMajor André, réalisateur et écrivain
ArtisansLépine Stéphane, réalisateur, animateur; Major André, réalisateur
Collection(s) Société Radio-Canada
RésuméPour souligner l'apport exceptionnel d'André Major, réalisateur à Radio-Canada depuis près de 30 ans (à la Chaîne culturelle FM de Radio-Canada), Stéphane Lépine propose une série de huit carnets et dialogues avec le lecteur, l'écrivain et le réalisateur André Major.

Septième carnet: Premiers vagabondages d'André Major.

Il souligne le besoin d'errance dans l'écriture et la lecture qui permet l'aventure. Il oppose au style spectacle le style pauvre qui permet une transparence et une justesse dans l'écriture. Il évoque le désir d'une vérité absolue, la fuite comme une métaphore de l'art, l'étouffement d'un rôle de personnage qu'on accepte tacitement de jouer, le sentiment d'imposture de l'écrivain, la joie qu'il trouve dans les petits miracles, le sourire de Tchekhov, la littérature comme une longue histoire de trous qu'on cherche à remplir, sa recherche de l'intensité littéraire dans le quotidien, sa tentation de tout quitter pour aller vivre en Provence, le malaise inhérent à l'existence, le souvenir des petites misères, l'évacuation du père par la culture québécoise, le pari pour l'avenir de Tchekhov et son indépendance d'esprit, ses origines troubles et sa rencontre avec Germaine Guèvremont. Les diverses réflexions sont accompagnées de musique.
Mots clésConsidérations littérairesCultureFranceLittératureLittérature étrangèreRomanSouvenirs
Remarques sur
le document
Cette émission a été rediffusée le 1998-08-30 dans le cadre de l'émission "Séries diverses".
Identifiant1798664
Mise à jour 2019-03-07
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4 Format Radio
Titre de l'émission LA 11E HEURE
Titre du segmentJean-Claude Germain (1 de 2)
Date de création 1998-01-02
Durée du segment00:55:35
InvitésGermain Jean-Claude, auteur, homme de théâtre
ArtisansFoucart Danielle, intervieweuse; Major André, réalisateur; Vigeant André, présentateur
Collection(s) Contre-culture
Société Radio-Canada
RésuméDans le cadre de la série "Qui êtes-vous ?", premier volet d'une entrevue réalisée avec l'auteur Jean-Claude Germain. Cet homme de théâtre coloré a participé à la naissance et à la direction du Théâtre d'Aujourd'hui, est porte-parole du Salon du livre de Montréal et à l'occasion, historien du théâtre et de la ville de Montréal. Il raconte comment il a développé son amour des livres, parle de son enfance, de ses années d'études chez les Jésuites, de son entrée en histoire et en lettres à l'École de Montréal, une institution qui était selon lui responsable de la pensée de l'indépendantisme, de la conscientisation de l'importance de l'histoire québécoise. Il rappelle ses débuts au théâtre en 1958, la fondation du Théâtre Antonin Artaud et dira quelques mots sur le Théâtre des Apprentis Sorciers qui logeait sur la rue Davidson dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve à Montréal. Il se remémore l'époque de la bohème à Montréal à la fin des années 1950, la délimitation du territoire où se réunissaient les artistes entre les rues Saint-Laurent et Bleury, des anecdotes où il cite Armand Vaillancourt et Claude Gauvreau et aussi l'époque où, parallèlement au théâtre, il avait un boulot d'épicier pour gagner sa vie. Jean-Claude Germain, autodidacte, se souvient de sa période des chemins orientaux dans la foulée des Beatniks. Son entrée au milieu des années 1960 au "Petit journal", son travail de critique de spectacles pendant le festival mondial à l'Expo 67, puis de premier secrétaire exécutif du Centre d'essai des auteurs dramatiques qui marque les débuts du théâtre québécois. La naissance de la troupe du "Théâtre du Même Nom" qui se voulait un pied de nez au TNM et au théâtre classique, et la création de "Les enfants de Chénier". Ses véritables débuts comme auteur de théâtre, l'étroite collaboration avec les acteurs, l'anecdote de la première version des "Belles-soeurs" de Michel Tremblay et l'accent amplifié des comédiennes. L'importance pour lui de respecter les élisions dans ses textes, qu'il qualifiait de partitions, pour respecter l'émotion. Enfin, le théâtre revendicateur des années 1970, l'improvisation et la naissance du "Grand Cirque".
Mots clésContre-cultureCultureGroupes et réseauxLangueLittératureSociétéSouvenirsThéâtre
Identifiant1260240
Mise à jour 2019-03-07
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5 Format Radio
Titre de l'émission LA 11E HEURE
Titre du segmentDu Refus global au village global (11 de 20)
Date de création 1998-05-18
Durée du segment00:58:25
InvitésGagnon François-Marc, historien; Lapointe Gilles, historien de l'art; Sullivan Françoise, peintre, signataire du Refus global; Robert Guy, historien; Borduas Paul-Émile, peintre
ArtisansDenis Jean-Pierre, réalisateur, animateur
Collection(s) Société Radio-Canada
RésuméOnzième volet de la série: Portrait de Paul-Émile Borduas. L'historien François-Marc Gagnon rappelle la jeunesse de Borduas, sa rencontre et son apprentissage avec le peintre Ozias Leduc qu'il accompagne pour la réalisation de décors d'églises, de son passage à l'École des Beaux-Arts où il obtient des résultats académiques médiocres. Il poursuit en racontant le départ de Borduas pour la France en 1928, son retour au Québec et l'obtention alors d'un poste de professeur de dessin dans les écoles primaires de la CECM (Commission des écoles catholiques de Montréal) au moment où la crise économique sévit, son entrée à l'École du Meuble dans les années 1930, son rapprochement avec des étudiants qu'il invite à fréquenter son atelier; témoignage de Françoise Sullivan, étudiante de Borduas, qui donne un aperçu de ces rencontres. Présentation d'un extrait d'une entrevue accordée par Paul-Émile Borduas en 1950 dans le cadre de l'émission Causeries: sa conception de l'enseignement de l'art. L'historien Guy Robert remet en doute le tempérament de révolutionnaire de Borduas en retraçant le parcours de l'artiste, de même que ses qualités intellectuelles. Les circonstances de la rencontre entre Pellan et Borduas, présentés l'un à l'autre par le peintre Jean-Paul Lemieux. La révélation de l'œuvre choc de Pellan en 1940-1941. La naissance des mouvements automatiste de Borduas et Prisme d'Yeux de Pellan. L'influence du Frère Jérôme sur Borduas. La naissance du noyau des Automatistes à l'École du meuble. Pellan et l'obtention du poste de professeur; l'affrontement avec Borduas. Quelques mots sur la personnalité de Pellan plus extravertie que Borduas. La rupture finale en 1955 entre Borduas et le groupe des Automatistes.
Mots clésAnniversairesArtAutomatismeCultureGroupes et réseauxSouvenirs
Identifiant1264021
Mise à jour 2019-03-07
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6 Format Radio
Titre de l'émission LA 11E HEURE
Titre du segmentDu Refus global au village global (12 de 20)
Date de création 1998-05-19
Durée du segment00:58:25
InvitésFournier Marcel, sociologue; Robert Guy, historien; Abramovitch Sam, collectionneur d'art; Ferron Marcelle, peintre, signataire du Refus global; Camus Michel, auteur; Fisette Jean, professeur de littérature
ArtisansDenis Jean-Pierre, animateur, réalisateur
Collection(s) Société Radio-Canada
RésuméDouzième volet de la série: Portrait de Borduas (suite). L'historien Guy Robert: les échecs de Borduas liés à sa vie personnelle, au mouvement automatiste et à l'artiste lui-même, le peintre, ce qu'il n'était pas selon Guy Robert. Guy Robert explique son jugement sur l'oeuvre et la qualité de peintre de Borduas. La rupture avec Fernand Leduc. Les tableaux de Provincetown, les plus beaux selon lui. Les derniers tableaux de Borduas, de la dramaturgie théâtrale, dira-t-il, et le spectre d'une mort annoncée. Borduas, initiateur de la modernité au Québec.
Sam Abramovitch, collectionneur d'art et connaissance de Borduas: Borduas, un artiste de grand talent; le style laborieux de Borduas; le séjour à Provincetown aux États-Unis; sa rencontre avec l'artiste qui lui disait partir pour mieux être reconnu là où il quittait et qui exprimait son ambition d'être reconnu comme le meilleur peintre au monde. Marcelle Ferron rappelle les causes des déboires de Borduas liés à des circonstances externes à l'homme selon elle; elle donne des exemples d'opportunités ratées. La série noir et blanc. Michel Camus rapporte une conversation entre Borduas et John Franklin Koenig sur l'humilité et l'orgueil. Jean Fisette parlera de Borduas en tant qu'initiateur d'une ferveur de création au Québec. Présentation d'un extrait d'une entrevue de Paul-Émile Borduas réalisée en 1953 par Judith Jasmin: sa conception de la perspective, la peinture parisienne, et d'un extrait d'une lettre qu'il adressait au frère Jérôme.
Mots clésAnniversairesArtAutomatismeCultureParisSociologieSouvenirs
Identifiant1264022
Mise à jour 2019-03-07
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7 Format Radio
Titre de l'émission LA 11E HEURE
Titre du segmentDu Refus global au village global (16 de 20)
Date de création 1998-05-25
Durée du segment00:59:00
InvitésSmart Patricia, historienne, auteure de "Les femmes du Refus global"; Arbour Rose-Marie; Renaud Thérèse, auteur, signataire du Refus global; Sullivan Françoise, peintre, signataire du Refus global; Renaud Jeanne, danseuse
ArtisansDenis Jean-Pierre, animateur, réalisateur
Collection(s) Société Radio-Canada
RésuméSeizième volet de la série: l'art au féminin (1 de 3). Émission consacrée aux femmes qui ont contribué à la formation et à l'évolution du mouvement automatiste au Québec. Entrevue avec Patricia Smart, auteure de "Les femmes du Refus global" et Rose-Marie Arbour, auteure de "Le cercle des automatistes et la différence des femmes" : l'importance de souligner dans la production automatiste l'existence de deux manuscrits poétiques, l'un de Thérèse Renaud, l'autre de Suzanne Meloche, artiste peintre; pourquoi on a marginalisé les femmes artistes; le mythe des "petites amies" des hommes du mouvement; l'esthétique automatiste féminin; l'idéalisme des hommes et le réalisme des femmes chez les Automatistes; la contribution des femmes par le biais de la nombreuse documentation qu'elles rapporteront de leurs voyages à l'étranger; on souligne particulièrement l'apport de l'artiste Louise Renaud. Thérèse Renaud raconte son enfance et ses premiers coups de coeur pour le théâtre grâce à la fréquentation de sa cousine, Estelle Mauffette; son séjour à Paris et son expérience de chanteuse de retour à Montréal. Françoise Sullivan et Jeanne Renaud: le rapport de Borduas avec les femmes du mouvement automatiste.
Mots clésAnniversairesArtAutomatismeChansonCultureFemmesLittératureParisSouvenirsThéâtre
Identifiant1264071
Mise à jour 2019-03-07
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8 Format Radio
Titre de l'émission LA 11E HEURE
Titre du segmentDu Refus global au village global (17 de 20)
Date de création 1998-05-26
Durée du segment00:59:20
InvitésSmart Patricia, historienne, auteure de "Les femmes du Refus global"; Marchand Jean, comédien, lecteur; Faucher Sophie, comédienne, lectrice; Arbour Rose-Marie; Gauvreau Pierre, auteur, signataire du Refus global
ArtisansDenis Jean-Pierre, animateur, réalisateur
Collection(s) Société Radio-Canada
RésuméDix-septième volet de la série: l'art au féminin (2 de 3). Émission consacrée aux femmes qui ont contribué à la formation et à l'évolution du mouvement automatiste au Québec. Entrevue avec Patricia Smart, auteure de "Les femmes du Refus global": les différences entre les écoles automatiste et surréaliste, cette dernière marquée par un univers masculin où le corps de la femme est au centre de leurs préoccupations; le style de vie avant-gardiste de Mme Gauvreau, mère de Pierre et Claude, une militante qui a servi de modèle aux femmes du mouvement automatiste. Pierre Gauvreau rappelle les origines bourgeoises de sa mère, le mariage en 1921 et la séparation de ses parents en 1925, la vie de sa mère après la rupture, la mise sur pied d'un salon où elle réunissait des artistes. Lecture d'un extrait du texte "Beauté baroque" de Claude Gauvreau, relatant le récit d'un avortement et qui se veut l'écho du destin tragique de Muriel Guilbault, une femme en rupture avec les valeurs de son époque. Rose-Marie Arbour, auteure de «Le cercle des automatistes et la différence des femmes», poursuit la réflexion la conception des femmes par les surréalistes versus la conception plus laïque des hommes du groupe automatiste; les femmes du mouvement automatiste, des artistes multidisciplinaires en art. Entrevue avec Jeanne Renaud et Françoise Sullivan au sujet de leur démarche créatrice dans la danse. Lecture d'un texte de Françoise Sullivan sur la recherche de la vérité dans le corps.
Mots clésAnniversairesArtAutomatismeCultureFemmesLecturesSouvenirsSurréalisme
Identifiant1264704
Mise à jour 2019-03-07
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